Bonjour à tous,
Cette semaine, nous nous intéressons à ORD, un créatif talentueux et sympathique qui vit pleinement sa vie en Espagne !
@ORD
Membre de Creads depuis janvier 2012
– Peux tu te présenter en quelques mots ?
Je m’appelle Olivier Rullière, j’ai 33 ans et j’habite à Valencia (Espagne). Je suis issu d’une filière scientifique et je me suis spécialisé dans le design graphique à l’école international de design de Toulon. J’ai débuté ma carrière au sein d’une agence comme designer graphique et web designer.
Par la suite, je me suis fait débaucher par une agence sur Aix en Provence où je suis vite devenu directeur artistique. J’ai développé ce poste pendant quelques années et j’ai décidé de changer de vie et de me lancer dans un nouveau projet fascinant, travailler pour moi. Pour ce projet je suis parti m’installer en Espagne, à Valencia.
D’excellents professionnels m’ont permis de très bonnes associations ici, j’ai ainsi pu créer une petite structure qui me rend capable de répondre à tout type de projet de design, du print au web clé en main en passant par le branding / création de marque jusqu’aux projets de photo réalisme en 3D pour des projets tels que le design d’intérieur.
Côté passion, quand j’ai fini mon match de foot avec mon fils de 16 mois, s’il me reste de l’énergie j’aime jouer au billard français dans l’association du village (ne jamais mépriser les passionnantes histoires des anciens du coin). Ou encore m’adonner à la photographie.
– Tu es domicilié en Espagne non ? Comment s’y déroule ta vie de graphiste là-bas ?
Ma vie de graphiste se déroule plus ou moins de la même manière que sur Paris, Aix en Provence ou Lille, certes avec quelques degrés de plus et un peu plus de soleil entre par la fenêtre. ;op
La vie en Espagne m’apporte une deuxième culture, un nouveau point de vue et une autre façon de vivre la vie. Professionnellement, cela se traduit par de nouvelles perspectives très utile pour certains projets que je n’aurai pas eus auparavant.
Je travaille fréquemment à distance autant avec des agences de communication qu’avec des clients finaux en France, Espagne ainsi que d’autres pays francophones ou hispanophones. De ce fait la participation aux projets sur Creads ne suppose aucune complication d’autant plus que l’équipe de Creads est très réactive, et cela facilite le travail.
– Comment es-tu arrivé au graphisme ?
Je suis arrivé au graphisme par amour pour les belles images, au design par amour pour la communication.
– Pour toi quelle est la plus grande difficulté que peut rencontrer un graphiste au quotidien ?
Aujourd’hui… La crise !?
Je pense que la plus grande difficulté est de faire comprendre à nos clients que leurs « goûts » ne sont pas forcément ceux de leur cible… Un client qui oblige à porter tant de modifications sur un projet que celui-ci finit par perdre de l’impact et de la lisibilité est assez désobligeant. Mais … Le client est roi…
– Comment es tu arrivé sur Creads ?
La mémoire me fait défaut sur ce point, cela fait un moment que je me suis inscrit mais je n’avais pas été très actif au début. Je crois me souvenir que ce fut grâce au bouche à oreille.
– Quel est le type de brief sur lequel tu préfères travailler ?
Les meilleurs briefs sont les plus longs et les plus exhaustifs, ils permettent d’obtenir les meilleurs résultats pour le client dans les plus brefs délais. Personnellement je suis attiré par les briefs de projets qui posent de réelles contraintes, des challenges techniques et/ou créatifs.
– Es-tu plutôt PC ou mac ?
Je ne suis pas raciste, j’ai un iPhone et un Ipad mais je travaille sur PC.
Les Macs sont de très bonnes machines avec des OS solides mais je ne suis pas partisan du monde ultra fermé d’Apple.
– As-tu entendu parler du concours WACOM / Pixel art ? Penses-tu y participer ?
J’en ai entendu parler, mais étant relativement occupé et travaillant beaucoup je vais devoir être très créatif avec mon emploi du temps pour trouver le temps de m’y mettre. J’ai déjà une femme et un fils qui me regardent de travers… ;oP
– Un petit mot pour la fin ?
“No le temas a la perfección, nunca la alcanzarás.” (Salvador Dalí)
