Son terrain de jeu favori est le bitume pour mieux pour interagir avec les passants des rues de Rennes, ville où l’artiste étudie. Ce travail complexe et méticuleux laisse rêveur, Il faut savoir qu’Ali ne fait pas de plan ni de pochoir pour ces œuvres, tout son travail est fait à main levée de quoi nous émerveiller d’avantage.
Rue papu à Rennes
Son art urbain se décline aussi vers la nature. Dans cette nouvelle série, il n’utilise que des matériaux naturels dans un rayon d’un mètre cinquante aux alentours de son mandala. Tels qu’Andy Goldsworthy et Simon Beck, il puise son inspiration au sein de dame nature.
Ces nouvelles créations sont tout autant tournées vers la précision avec de nouvelles formes inspirées de l’architecture indienne.
Ali a fait déjà deux expositions, « Mandala » à l’espace M lors du festival Maintenant organisé par Electron[k] et le festival Urbain.
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