Cette semaine nous nous intéressons à Jean-Fraçois Rauzier. Inventeur de l’hyperphotographie, amateur de photos géantes en ultra-haute qualité, il retouche ses clichés à volonté et se définit lui-même comme un « peintre virtuel ».
Chez Jean-François Rauzier, il n’y a pas une photographie, mais une multitudes d’images qui forment une énorme fresque. L’assemblage de plusieurs milliers de clichés pris au télé objectif pour composer une image gigantesque dont chaque micro-partie reste ultra-nette au zoom : c’est ce qu’il appelle l’hyperphoto. Tout est mis en place pour que le spectateur prenne le temps d’y explorer les éléments qui l’intrigue, l’appellent, le choquent parfois. La lecture d’une oeuvre est toujours un point de vue chez ce photographe, et disons-le, un seul regard ne suffit pas pour embrasser la richesse de ses oeuvres.
Un exemple avec Babel :
Véritable globe-trotter, plusieurs villes et lieux mythiques sont revisités par le photographe, de Paris à Venise, en passant par le château de Versailles :
Le blog de Jean-François Rauzier nous permet d’explorer encore mieux les hyperphotos qu’il a composées.