ESSCA : le concours participatif Digiprize de Creads

Posté par Lea

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La deuxième édition du concours participatif Digiprize organisé par Creads Digital pour l’ESSCA a été couronnée d’un grand succès : plus de 100 projets créatifs, une belle médiatisation de l’opération grâce à une viralisation efficace. Retour sur l’opération.

Home opération Digiprize
Home opération Digiprize © Creads

 

L’Institut du Marketing Digital de l’ESSCA veut dénicher des talents digitaux

 

Afin de valoriser son statut de pionnier dans la formation en webmarketing, l’ESSCA et son Institut du Marketing Digital, souhaitent faire connaître les talents des étudiants dans le digital. L’école a donc tout naturellement imaginé un concours ouvert à tous, permettant de  » révéler les talents qui sauront innover et entreprendre pour créer le monde de demain  » selon Catherine Leblanc, Directrice Générale du Groupe ESSCA. Pour la deuxième année consécutive, l’école a donc mis en œuvre Digiprize, un concours d’innovations digitales afin de valoriser les initiatives entrepreneuriales des étudiants.

L’occasion, pour l’Institut de mettre en lumière ses deux masters spécialisés ‘Management Digital et Stratégie de Marque’ et ‘Mix digital et business développement’.

Les défis Digiprize
Les défis Digiprize © Creads

Une opération participative, communautaire et virale

Pour cette seconde édition, le projet proposé par Creads a poussé plus loin l’aspect participatif par rapport à la 1ère édition de 2013. En effet, les étudiants pouvaient concourir soit pour un concept, un projet voire une start-up et remporter un séjour de 10 jours dans la Silicon Valley. Pour gagner, les étudiants ont du s’appuyer sur leur idée géniale et également obtenir un maximum de votes par la communauté de « digiprizers ».

Pour les personnes moins à l’aise dans la gestion de communauté (tout un art), l’ESSCA a également sélectionné son coup de cœur.
Enfin, les étudiants pouvaient également participer en répondant à la problématique propre d’un des partenaires. Par exemple, Deezer a fait plancher les start-upers en herbe sur le sujet : « imaginez les expériences musicales digitales et/ou interactives des festivals du futur. ».

Un important travail de notoriété a été orchestré par Creads sur cette opération, en montant des partenariats avec des sites référents comme Frenchweb et en travaillant main dans la main avec des blogueurs influents. L’opération a également été soutenue par une campagne sur les réseaux sociaux avec un community manager dédié, une campagne de 3 mois Facebook Ads mise en place ainsi qu’une page Facebook et une compte Twitter spécifiquement créé.

Tagboard Twitter opé Digiprize
Tagboard Twitter opé Digiprize

L’opération qui buzze

Le Digiprize avait déjà rencontré un large succès l’année passée et avait notamment été salué en qualité de Prix coup de coeur du jury lors de l’IT Night 2014, la nuit de l’entreprise numérique.

Pour cette seconde édition, de nombreux partenaires prestigieux se sont associés à l’opération tels que BlaBlaCar, Deezer, Deloitte, Microsoft, Solocal Group, Sony Music...
115 projets innovants ont été déposés pendant l’opération et 20 projets sélectionnés dont les grands gagnants HeavyM (start-up de vidéo mapping) et Printolia (projet de partage de fichiers pour imprimante 3D).

Les prix de l'opération Digiprize
Les prix Digiprize © Creads

L’avis sur Creads de l’ESSCA :

« L’opération Digiprize représente un enjeu de plus en plus important pour l’ESSCA. Romain [le chef de projet, NDLR] a fortement contribué au succès de cette opération grâce à sa grande disponibilité et en manageant une équipe créative et dynamique.
Lors du Digiprize 2, comme lors du précédent, c’est toujours avec plaisir, professionnalisme et efficacité que nous avons eu l’occasion de travailler avec l’agence Creads » Paul Nathan, Directeur pédagogique.

« Pour la deuxième année consécutive, nous avons collaboré avec Creads pour la mise en place et la communication de notre grand concours national, le Digiprize. En capitalisant sur la première édition de l’an passé, nous avons pu sensiblement renforcer tous les dispositifs à actionner. Sur ce plan, les équipes de Creads ont montré leur capacité à intégrer le retour d’expérience dans leurs recommandations en étant toujours créatifs et impliqués. Ces qualités sont partagées par tous les interlocuteurs qui ont travaillé sur notre projet, ce qui est très précieux»  Lionel Le Nignol, Directeur de la communication.

L’œil du graphiste :

« Afin de véhiculer les valeurs de dynamisme entrepreneuriale, de modernité et de créativité, nous avons opté pour un parti pris graphique fort ponctué de formes géométriques et de pictogrammes. Nous avons, par ailleurs, créé un site immersif en utilisant de grandes photographies, permettant de plonger dans l’univers Digiprize.
Les animations et visuels sont amusantes, décalées, elles ne se prennent pas au sérieux.
Nous avons également mis l’accent sur l’aspect responsive du web design et intégré les contraintes liées à la mobilité, la cible étant des jeunes donc, par nature, très connectés.
Nous avons ensuite décliné la charte graphique pour la campagne de médiatisation bannière, master, réseaux sociaux, application Facebook). » Clémence, directrice artistique chez Creads.

Ma Digibox Creads
Opé Digiprize Ma Digibox © Creads

Le développeur “décode” l’opé :

« Pour cette opération, j’ai décidé, de suivre une nouvelle méthode de développement, plus propice à l’innovation. L’approche a été de séparer totalement le développement front (habillage, responsive, animation) du back (mécanique). Nous avons gagné un temps fou car chaque développeur était concentré avec efficacité sur “sa partie”.

De plus, cette méthode a permis d’innover en terme de technologie en utilisant Angular JS, une technologie de plus en plus plébiscitée. Et j’en ai profité pour faire monter mon équipe en compétences sur le sujet, histoire de joindre l’utile à l’agréable. 🙂

Enfin, il faut préciser que le site a été conçu en responsive design, compatible pour mobile, tablette et desktop ainsi que pour l’onglet Facebook. Pour plus de fluidité, nous avons utilisé la technologie Symfony 2 qui permet de scroller le site en format one page. »

 

On en parle :

Une vidéo de Frenchweb sur l’opération

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